Troubles du comportement alimentaire [1]
RÉSULTATS CLÉS
13 % de la population belge présente une suspicion de troubles du comportement alimentaire
Chez les adolescents, les filles sont plus enclines que les garçons à présenter une suspicion de troubles du comportement alimentaire (18 % contre 7 %)
16 % des personnes ayant un faible niveau d’instruction présentent une suspicion de troubles du comportement alimentaire, tandis que ce pourcentage est de 10 % parmi les personnes ayant un niveau d’instruction élevé
La proportion de personnes ayant une suspicion de troubles du comportement alimentaire est plus élevée à Bruxelles (18 %) qu’en Flandre (12 %)
Suspicion de troubles du comportement alimentaire, selon l’âge et le sexe (sur base de l’outil de screening SCOFF)
Proportion de la population belge âgée de 10 à 64 ans présentant une suspicion de troubles du comportement alimentaire, selon l’âge et le sexe, Belgique : 2022-2023
- Proportion brute = résultats pondérés en fonction de la saison, de l’âge, du sexe et du statut socio-économique.
- En Belgique, 13 % des personnes âgées de 10 à 64 ans présentent une suspicion de troubles du comportement alimentaire.
- La proportion de personnes présentant une suspicion de troubles du comportement alimentaire est plus élevée chez les femmes (15 %) que chez les hommes (11 %). Cette différence entre sexes est la plus importante chez les adolescents où 18 % des filles présentent une suspicion de troubles du comportement alimentaire, contre 7 % des garçons.
- Chez les hommes, la suspicion de troubles du comportement alimentaire est plus fréquente chez les adultes âgés de 18 à 39 ans (14 %) que chez les adolescents (7 %).
Suspicion de troubles du comportement alimentaire, selon le niveau d’instruction (sur base de l’outil de screening SCOFF)
Proportion de la population belge âgée de 10 à 64 ans présentant une suspicion de troubles du comportement alimentaire, selon le niveau d’instruction, Belgique : 2022-2023
- Proportion brute = résultats pondérés en fonction de la saison, de l’âge, du sexe et du statut socio-économique.
- Le niveau d’instruction est calculé au niveau du ménage en considérant le diplôme le plus élevé obtenu par : (i) le répondant ou son partenaire, pour les adultes (âgés de 18 ans et plus), ou (ii) le père ou la mère (ou le tuteur si d’application) pour les enfants et les adolescents (âgés de 3 à 17 ans). Cependant, par souci de concision, nous nous référons dans les résultats au niveau d’instruction des individus plutôt qu’à celui du ménage.
- La proportion d’individus présentant une suspicion de troubles du comportement alimentaire diminue lorsque le niveau d’instruction augmente. Cette proportion est plus élevée parmi les personnes ayant un niveau d’instruction faible (16 %), que parmi celles ayant un niveau d’instruction élevé (10 %).
Suspicion de troubles du comportement alimentaire, selon la région (sur base de l’outil de screening SCOFF)
Proportion de la population belge âgée de 10 à 64 ans présentant une suspicion de troubles du comportement alimentaire, selon la région, Belgique : 2022-2023
- Proportion ajustée = résultats pondérés en fonction de la saison, de l’âge, du sexe et du statut socio-économique, et ajustés selon l’âge et le sexe sur base d’un modèle de régression linéaire (utilisant la population belge de 2022-2023 comme référence).
- La proportion d’individus présentant une suspicion de troubles du comportement alimentaire est plus élevée à Bruxelles (18 %) qu’en Flandre (12%).
- En Wallonie, 15 % des individus ont une suspicion de troubles du comportement alimentaire.
Veuillez citer cette page de la manière suivante : Sciensano : Statut pondéral et troubles du comportement alimentaire : Troubles du comportement alimentaire, Enquête de Consommation alimentaire 2022-2023, juin 2024, Bruxelles, Belgique, https://www.sciensano.be/fr/results-food-consumption-survey-2022-2023/statut-ponderal-et-troubles-de-lalimentation/troubles-du-comportement-alimentaire [2]
