Les infections à Ebola provoquées par la présence latente du virus dans l’organisme de patients qui ont survécu à une précédente infection sont rares. Elles mettent toutefois en avant l’importance de maintenir une surveillance efficace une fois que le virus a été déclaré éradiqué d’un pays donné.
Ceci conclut une étude récente publiée dans la revue The Lancet Infectious Diseases. Dans une réaction à cette étude, publiée dans le même journal, le Dr Lorenzo Subissi (Sciensano) aborde les défis auxquels doivent faire face les patients qui ont survécu à une infection à Ebola et les programmes mis en place pour assurer leur suivi.
Vous trouverez de plus amples informations à ce sujet dans le communiqué de presse de l’éditeur.
le Dr Lorenzo Subissi pour toute demande d’interview.