Nous estimons que 35 à 45 % des hospitalisations ont été évitées grâce à l’introduction du nirsevimab.
Nous estimons que l’introduction du nirsevimab a permis de diminuer de 35 à 45 % les hospitalisations liées à une infection au VRS chez les enfants de moins de 5 ans. On estime que cela correspond à environ 4000 cas. Ceci a contribué à diminuer significativement la pression sur les soins de santé pédiatriques.
Le VRS exerce une pression importante sur les soins de santé
Le VRS est une cause importante d’hospitalisations chez les jeunes enfants, exerçant une pression importante sur les soins de santé durant la saison du VRS. Les bébés de moins de 1 an entamant leur première saison, le groupe à risque principal, étaient éligibles à l’immunisation à partir d’octobre 2024.
Le nirsevimab contribue à diminuer la pression sur les soins de santé
L’efficacité de l’immunisation contre les hospitalisations au VRS est estimé à 85,63 %. Nous estimons que 35 à 45 % d’hospitalisations ont été évitées dans la cohorte des enfants de moins de 5 ans grâce à l’introduction du nirsevimab réduisant significativement la pression sur les soins de santé.
La pression sur les soins de santé pourrait encore diminuer en augmentant la couverture d’immunisation
Pour la dernière saison, nous estimons la couverture de l’immunisation à 62-74 %. Une augmentation à 90 % de la couverture permettrait de réduire de 10-15 % supplémentaires le nombre d’hospitalisations. Cela représenterait environ 1500 cas supplémentaires évités.