Last updated on 8-8-2025 by Laïla Boulbayem
RÉSULTATS CLÉS
La consommation moyenne globale d’en-cas salés est de 9 g par jour
La majorité de la population (70 %) consomme des en-cas salés chauds moins d’une fois par semaine, tandis que 42 % de la population consomme des chips et biscuits apéritifs salés moins d’une fois par semaine
La consommation moyenne d’en-cas salés est similaire chez les enfants (8 g par jour), les adolescents (10 g par jour) et les adultes âgés de 40 à 64 ans (7 g par jour). Elle est la plus élevée chez les adultes âgés de 18 à 39 ans (15 g par jour) et la plus faible chez les adultes âgés de 65 ans et plus (4 g par jour)
La proportion de personnes consomment des chips et biscuits apéritifs salés moins d’une fois par semaine est plus élevée en Flandre (43 %) qu’en Wallonie (37 %), tandis que les proportion de personnes en consommant une fois par semaine est inférieure en Flandre (26 %) qu’en Wallonie (32 %)
Selon le sexe
Consommation moyenne d’en-cas salés (g/jour) dans la population âgée de 3 ans et plus, selon le sexe, Belgique : 2022-2023
- Moyenne brute = résultats pondérés pour la saison, l’âge, le sexe et le statut socio-économique.
- La consommation moyenne fait référence à la consommation moyenne de la population, calculée à partir de la moyenne individuelle des consommations des deux rappels alimentaires de 24 heures non consécutifs.
- La consommation moyenne d’en-cas salés dans la population âgée de 3 ans et plus est de 9 g/jour.
- La consommation moyenne d’en-cas salés est similaire chez les hommes (9 g/jour) et chez les femmes (9 g/jour).
- Les femmes consomment en moyenne 5 g/jour de chips et biscuits apéritifs salés et 4 g/jour d’en-cas salés chauds. En comparaison, les hommes consomment en moyenne 6 g/jour de chips et biscuits apéritifs salés et 3 g/jour d’en-cas salés chauds.
Fréquence de consommation de chips et biscuits apéritifs salés dans la population âgée de 3 ans et plus, selon le sexe, Belgique : 2022-2023
- Proportion brute = résultats pondérés pour la saison, l’âge, le sexe et le statut socio-économique.
- 3 % de la population âgée de 3 ans et plus consomme des chips et biscuits apéritifs salés quotidiennement, tandis que 42 % en consomme moins d’une fois par semaine.
- La fréquence de consommation de chips et biscuits apéritifs salés est similaire chez les hommes et chez les femmes.
Fréquence de consommation d’en-cas salés chauds dans la population âgée de 3 ans et plus, selon le sexe, Belgique : 2022-2023
- Proportion brute = résultats pondérés pour la saison, l’âge, le sexe et le statut socio-économique.
- 70 % de la population âgée de 3 ans et plus consomme des en-cas salés chauds moins d’une fois par semaine, tandis que 23 % n’en consomme jamais. Très peu de personnes consomment des en-cas salés chauds une fois par semaine ou plus.
- La fréquence de consommation d’en-cas salés chauds est similaire chez les hommes et chez les femmes.
Selon l’âge
Consommation moyenne d’en-cas salés (g/jour) dans la population âgée de 3 ans et plus, selon l’âge, Belgique : 2022-2023
- Moyenne brute = résultats pondérés pour la saison, l’âge, le sexe et le statut socio-économique.
- La consommation moyenne fait référence à la consommation moyenne de la population, calculée à partir de la moyenne individuelle des consommations des deux rappels alimentaires de 24 heures non consécutifs.
- Les personnes âgées (65 ans et plus) ne comprennent pas les personnes résidant dans des établissements de soins, les personnes hospitalisées ou celles qui auraient eu besoin d’une assistance importante pendant les entretiens (par exemple, les personnes souffrant de troubles cognitifs).
- La consommation moyenne d’en-cas salés est similaire chez les enfants (8 g/jour), les adolescents (10 g/jour) et les adultes âgés de 40 à 64 ans (7 g/jour).
- En comparaison, les adultes âgés de 18 à 39 ans ont une consommation moyenne d’en-cas salés nettement plus élevée (15 g/jour) que dans les autres groupes d’âge, tandis que les adultes âgés de 65 ans et plus ont une consommation inférieure (4 g/jour).
- La répartition entre « chips et biscuits apéritifs salés » et « en-cas salés chauds » varie légèrement selon l’âge. La consommation moyenne de chips et biscuits apéritifs salés est plus élevée que celle d’en-cas salés chauds chez les enfants, les adolescents et les adultes âgés de 65 ans et plus, tandis qu’une répartition plus équilibrée est observée chez les adultes âgés de 18 à 39 ans et chez les adultes âgés de 40 à 64 ans.
Fréquence de consommation de chips et biscuits apéritifs salés dans la population âgée de 3 ans et plus, selon l’âge, Belgique : 2022-2023
- Proportion brute = résultats pondérés pour la saison, l’âge, le sexe et le statut socio-économique.
- Les personnes âgées (65 ans et plus) ne comprennent pas les personnes résidant dans des établissements de soins, les personnes hospitalisées ou celles qui auraient eu besoin d’une assistance importante pendant les entretiens (par exemple, les personnes souffrant de troubles cognitifs).
- 54 % des adultes âgés de 65 ans et plus, 43 % des adultes âgés de 40 à 64 ans et 40 % des enfants consomment des chips et biscuits apéritifs salés moins d’une fois par semaine Cette proportion est plus élevée chez les adultes âgés de 65 ans et plus que dans les autres groupes d’âge.
- La proportion de personnes ne consommant jamais de chips et biscuits apéritifs salés est plus élevée chez les adultes âgés de 40 à 64 ans (10 %) et chez ceux âgés de 65 ans et plus (18 %) que dans les trois autres groupes d’âge (3-9 ans : 1 % ; 10-17 ans : 2 %, et 18-39 ans : 3 %).
Fréquence de consommation d’en-cas salés chauds dans la population âgée de 3 ans et plus, selon l’âge, Belgique : 2022-2023
- Proportion brute = résultats pondérés pour la saison, l’âge, le sexe et le statut socio-économique.
- Les personnes âgées (65 ans et plus) ne comprennent pas les personnes résidant dans des établissements de soins, les personnes hospitalisées ou celles qui auraient eu besoin d’une assistance importante pendant les entretiens (par exemple, les personnes souffrant de troubles cognitifs).
- 61 % des enfants, 64 % des adolescents, 77 % des adultes âgés de 18 à 39 ans, 74 % des adultes âgés de 40 à 64 ans et 63 % des adultes âgés de 65 ans et plus consomment des en-cas salés chauds moins d’une fois par semaine.
- 33 % des enfants et des personnes âgées de 65 ans et plus ne consomment jamais d’en-cas salés chauds.
Selon le niveau d’instruction
Consommation moyenne d’en-cas salés (g/jour) dans la population âgée de 3 ans et plus, selon le niveau d’instruction, Belgique : 2022-2023
- Moyenne brute = résultats pondérés pour la saison, l’âge, le sexe et le statut socio-économique.
- La consommation moyenne fait référence à la consommation moyenne de la population, calculée à partir de la moyenne individuelle des consommations des deux rappels alimentaires de 24 heures non consécutifs.
- Le niveau d’instruction est calculé au niveau du ménage en considérant le diplôme le plus élevé obtenu par : (i) le répondant ou son partenaire, pour les adultes (âgés de 18 ans et plus), ou (ii) le père ou la mère (ou le tuteur, le cas échant) pour les enfants et les adolescents (âgés de 3 à 17 ans). Cependant, par souci de concision, nous nous référons dans les résultats au niveau d’instruction des individus plutôt qu’à celui du ménage.
- La consommation moyenne d’en-cas salés est de 8 g/jour chez les personnes ayant un niveau d’instruction élevé et de 9 g/jour chez celles ayant un niveau d’instruction faible ou moyen.
- La consommation moyenne de chips et biscuits apéritifs salés est similaire à celle d’en-cas salés chauds chez les personnes ayant un niveau d’instruction moyen ou élevé. Chez les personnes ayant un faible niveau d’instruction, en revanche, la consommation moyenne de chips et biscuits apéritifs salés (6 g/jour) est supérieure à celle d’en-cas salés chauds (3 g/jour).
Fréquence de consommation de chips et biscuits apéritifs salés dans la population âgée de 3 ans et plus, selon le niveau d’instruction, Belgique : 2022-2023
- Proportion brute = résultats pondérés pour la saison, l’âge, le sexe et le statut socio-économique.
- Le niveau d’instruction est calculé au niveau du ménage en considérant le diplôme le plus élevé obtenu par : (i) le répondant ou son partenaire, pour les adultes (âgés de 18 ans et plus), ou (ii) le père ou la mère (ou le tuteur, le cas échant) pour les enfants et les adolescents (âgés de 3 à 17 ans). Cependant, par souci de concision, nous nous référons dans les résultats au niveau d’instruction des individus plutôt qu’à celui du ménage.
- La proportion de personnes consommant des chips et biscuits apéritifs salés moins d’une fois par semaine et la proportion de personnes en consommant deux à quatre fois par semaine sont plus élevées chez les personnes ayant un niveau d’instruction élevé (46 % et 20 %) que chez celles ayant un faible niveau d’instruction (40 % et 16 %).
- En outre, la proportion de personnes ne consommant jamais de chips et biscuits apéritifs salés est plus élevée chez les personnes ayant un faible niveau d’instruction (11 %) que chez celles ayant un niveau d’instruction moyen (6 %) ou élevé (4 %).
- Enfin, une proportion plus élevée de personnes ayant un faible niveau d’instruction (4 %) consomment des chips et biscuits apéritifs salés au moins une fois par jour, par rapport aux personnes ayant un niveau d’instruction élevé (1 %).
Fréquence de consommation d’en-cas salés chauds dans la population âgée de 3 ans et plus, selon le niveau d’instruction, Belgique : 2022-2023
- Proportion brute = résultats pondérés pour la saison, l’âge, le sexe et le statut socio-économique.
- Le niveau d’instruction est calculé au niveau du ménage en considérant le diplôme le plus élevé obtenu par : (i) le répondant ou son partenaire, pour les adultes (âgés de 18 ans et plus), ou (ii) le père ou la mère (ou le tuteur, le cas échant) pour les enfants et les adolescents (âgés de 3 à 17 ans). Cependant, par souci de concision, nous nous référons dans les résultats au niveau d’instruction des individus plutôt qu’à celui du ménage.
- 74 % des personnes ayant un niveau d’instruction moyen ou élevé consomment des en-cas salés chauds moins d’une fois par semaine, contre 66 % des personnes ayant un faible niveau d’instruction.
- 25 % des personnes ayant un faible niveau d’instruction ne consomment jamais d’en-cas salés chauds, contre 21 % des personnes ayant un niveau d’instruction moyen ou élevé.
Selon la région
Consommation moyenne d’en-cas salés (g/jour) dans la population âgée de 3 ans et plus, selon la région, Belgique : 2022-2023
- Moyenne brute = résultats pondérés pour la saison, l’âge, le sexe et le statut socio-économique.
- La consommation moyenne fait référence à la consommation moyenne de la population, calculée à partir de la moyenne individuelle des consommations des deux rappels alimentaires de 24 heures non consécutifs.
- Bruxelles est exclue de la comparaison régionale en raison d’un nombre insuffisant de participants, mais est incluse dans les données nationales belges.
- La consommation moyenne d’en-cas salés est similaire en Wallonie (8 g/jour) et en Flandre (10 g/jour).
Fréquence de consommation de chips et biscuits apéritifs salés dans la population âgée de 3 ans et plus, selon la région, Belgique : 2022-2023
- Proportion brute = résultats pondérés pour la saison, l’âge, le sexe et le statut socio-économique.
- Bruxelles est exclue de la comparaison régionale en raison d’un nombre insuffisant de participants, mais est incluse dans les données nationales belges.
- En Flandre, 43 % des personnes consomment des chips et biscuits apéritifs salés moins d’une fois par semaine, tandis que cette proportion est de 37 % en Wallonie.
- En Flandre, 26 % des personnes mangent des chips et biscuits apéritifs salés une fois par semaine, tandis que cette proportion est de 32 % en Wallonie.
- En outre, 19 % des personnes résidant en Flandre consomment des chips et biscuits apéritifs salés deux à quatre fois par semaine, tandis qu’en Wallonie, cette proportion est de 16 %.
Fréquence de consommation d’en-cas salés chauds dans la population âgée de 3 ans et plus, selon la région, Belgique : 2022-2023
- Proportion brute = résultats pondérés pour la saison, l’âge, le sexe et le statut socio-économique.
- Bruxelles est exclue de la comparaison régionale en raison d’un nombre insuffisant de participants, mais est incluse dans les données nationales belges.
- En Flandre, 75 % des personnes consomment des en-cas salés chauds moins d’une fois par semaine, tandis que cette proportion est de 67 % en Wallonie.
- En outre, la proportion de personnes ne consommant jamais d’en-cas salés chauds est de 28 % en Wallonie et 17 % en Flandre.
Veuillez citer cette page de la manière suivante : Sciensano. Consommation alimentaire: En-cas salés, Enquête de Consommation alimentaire 2022-2023, Juin 2025, Bruxelles, Belgique, https://www.sciensano.be/fr/resultats-de-lenquete-nationale-de-consommation-alimentaire-2022-2023/consommation-alimentaire/en-cas-sales
