L’exercice de simulation a été développé par le One Health European Joint Program (OH-EJP) en collaboration avec l’ECDC (Centre européen de prévention et de contrôle des maladies) et l’EFSA (Autorité européenne de sécurité des aliments).

Le cancer est l’une des principales causes de décès en Europe, et sa prévalence est appelée à augmenter avec le vieillissement de la population. Le cancer est un diagnostic individuel qui a un impact important sur les patients, mais il affecte aussi gravement la vie de leur famille et de leurs amis. En outre, le cancer a également un impact économique considérable. La réduction du cancer et de ses conséquences est donc une priorité essentielle pour la Commission européenne (CE), qui a récemment présenté le «Plan européen pour vaincre le cancer».

Le 27 juin, la Belgique organisera un événement pour le lancement du PARC (European Partnership for the Assessment of Risks from Chemicals). Près de 200 institutions issues de 28 pays collaborent avec la Commission européenne à ce projet de recherche européen afin d’améliorer l’évaluation des risques chimiques. Dans le prolongement du coup d’envoi de PARC donné début mai en France, la Belgique lance sa participation à ce projet. Douze partenaires belges prennent part à PARC, dont Sciensano.

La semaine dernière un cas supplémentaire d’inflammation aiguë du foie a été identifié, qui répond à la définition de cas à déclarer au Centre européen de prévention et de contrôle des maladies (ECDC). Il s’agit d’un enfant de 11 ans qui a été malade en mars 2022. Aucun cas récent n’a été identifié.

En outre, un autre cas potentiel a été signalé, qui pourrait remplir les conditions requises, mais qui n’a pu être confirmé car aucun test de laboratoire supplémentaire ne peut plus être effectué. Il s’agit d’un enfant qui a été malade en janvier. Quatre cas potentiels au total ne peuvent actuellement être confirmés.

Le nombre total de cas reste donc toujours limité dans notre pays.

En outre, un autre cas potentiel a été signalé, mais il n’a pu être confirmé car aucun test de laboratoire supplémentaire ne peut être effectué. Trois cas potentiels au total ne peuvent actuellement être confirmés.

Tous les patients sont tombés malades entre octobre 2021 et avril 2022. Aucun cas plus récent n’a été signalé jusqu’à présent. L’âge des 12 enfants varie de 1 mois à 10 ans. Dix enfants ont été admis à l’hôpital, mais l’ont quitté depuis. Aucun décès n’a été à déplorer.

En outre, un certain nombre de cas plus anciens (depuis le 1er octobre 2021) ont été réexaminés. Cela a révélé 2 autres cas possibles. Il s’agit de cas qui peuvent répondre à la définition de cas, mais pour lesquels aucune conclusion ne peut être tirée car il n’est plus possible de procéder à des examens de laboratoire supplémentaires.

L’âge de ces cas varie entre 1 mois et 10 ans.

Cette piste de recherche explore une nouvelle voie dans la lutte contre la résistance aux antibiotiques. Après une première publication le 17 mars 2017, la revue scientifique Science publie aujourd’hui une deuxième étude sur cette découverte scientifique.

Un certain nombre d’anciens cas possibles, datant de la période du 1er octobre 2021 à aujourd’hui, font également l’objet d’une enquête. Cependant, il n’est pas certain que ces cas passés répondent à la définition de cas de l’affection et qu’ils soient effectivement retenus.

L’âge des cas sous enquête varie de 1 mois à 14 ans.

Le mardi 26 avril 2022, Sa Majesté le Roi s’est rendu chez Sciensano pour faire plus ample connaissance avec les activités scientifiques de l’institut.