HELICONference | Au-delà du virus: Aborder les disparités entre les hommes et les femmes pendant le COVID-19

Description

Les inégalités entre les hommes et les femmes pendant la pandémie de COVID-19 vont bien au-delà des taux d’infection. Des preuves scientifiques indiquent que les effets indirects du COVID-19 ont eu un impact disproportionné sur les femmes. Le genre se mêle aux facteurs économiques, sociaux, environnementaux et sanitaires, créant un réseau complexe de défis. Ce webinaire explore la manière dont ces différences se manifestent dans les diverses facettes de la crise, du lieu de travail à la maison.

HELICON a invité cinq chercheurs de premier plan dans ce domaine à discuter des risques sanitaires auxquels les différents genres ont été confronté pendant la pandémie. Reconnaître et traiter ces défis spécifiques au genre n’est pas seulement une question d’équité, mais est également crucial pour développer des réponses ciblées et efficaces.

Au cours de ce webinaire, nos experts se pencheront sur les subtilités des disparités entre les sexes et partageront leurs points de vue sur la formulation de stratégies sanitaires efficaces. Ce webinaire sert de plateforme pour doter les participants des connaissances nécessaires pour favoriser une réponse plus inclusive et plus ciblée aux défis actuels posés par le COVID-19.

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Laura Van den Borre

21 pays européens s'unissent dans l'action commune de l'UE JACARDI pour réduire le fardeau des maladies cardiovasculaires et du diabète

Un nouveau projet quadriennal appelé Action conjointe sur les maladies cardiovasculaires et le diabète (JACARDI) a été lancé à Rome le 27 novembre 2023. Cette initiative, à laquelle participent des ministères, des organismes de santé publique, des organisations non gouvernementales et des universités, vise à aider les États membres de l’Union européenne (UE) à réduire le fardeau des maladies cardiovasculaires (MCV), du diabète et des facteurs de risque associés, tant au niveau individuel que sociétal. Sciensano coordonnera la participation belge à JACARDI.

Le VIH est toujours présent en Belgique : en 2022, 11 personnes par semaine ont été diagnostiquées avec le VIH

En 2022, 597 personnes ont reçu un nouveau diagnostic de VIH en Belgique. Cela représente une augmentation de 14 % par rapport à 2021. Toutefois, cette augmentation doit être interprétée avec prudence, car les tendances annuelles ont fluctué davantage depuis la pandémie de COVID-19. Globalement la tendance des nouveaux diagnostics de VIH en Belgique au cours de la dernière décennie reste à la baisse.

Le moustique tigre survit à l'hiver belge

Pendant la saison 2023, Sciensano et l’Institut de médecine tropical, à l’aide des citoyens, ont détecté des moustiques tigres (Aedes albopictus) à trois endroits différents en Belgique (Lebbeke, Wilrijk et une aire d’autoroute à Wanlin). L’année dernière, des moustiques tigres avaient déjà été détectés à deux de ces endroits, Lebbeke et Wilrijk, ce qui indique qu’ils ont survécu à l’hiver. Les notifications de ces moustiques tigres ont toutes deux été faites par des citoyens via le site web de surveillance des moustiques, soulignant, une fois de plus, l’importance de la participation des citoyens à la surveillance des moustiques tigres en Belgique. Afin de renforcer la participation des citoyens, Sciensano lance une application facile d’utilisation ‹Surveillance Moustiques› (disponible pour Android et Apple), avec laquelle les citoyens pourront désormais soumettre plus facilement leurs photos de moustiques tigres, où qu’ils se trouvent.

Appel à tous les citoyens : Aidez-nous une nouvelle fois à trouver des moustiques tigres !

Depuis 2021, avec le projet MEMO+ (Surveillance des moustiques exotiques Aedes en Belgique), Sciensano et l’IMT suivent de près la présence de moustiques exotiques en Belgique. Le projet surveille notamment 8 parkings d’autoroute où les moustiques tigres peuvent entrer dans notre pays via le trafic routier.

Comportement alimentaire et exercice physique de la population adulte en Flandre à la loupe

A peine la moitié de la population adulte en Flandre mange tous les jours des fruits ; les légumes figurent en revanche plus souvent au menu. L’un des principaux obstacles pour bien manger semble être le prix trop élevé à payer pour une alimentation saine. Plus d’1 personne sur 4 ne respecte pas la recommandation de faire de l’exercice d’une manière modérée à intensive au moins 150 minutes par semaine. Mais 75,7% de ces personnes ont toutefois l’intention d’y remédier. Les adultes sont assis ou se reposent en moyenne 6,1 heures par jour et semblent ne pas être au courant de la recommandation consistant à bouger toutes les demi-heures. C’est ce qui ressort des résultats les plus récents du Baromètre de prévention de Sciensano.

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